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AGRIPPA, H.C. de Nettesheim

Paradoxe sur l'Incertitude, Vanité et abus des Sciences. Traduite en françois, du latin de Henry Corneille Agr. Oeuvre qui peut profiter, & qui apporte merveilleux contentement à ceux qui fréquentent les cours des grands seigneurs, & qui veulent apprendre
[Paris]
1603
€580,00

In-12°, [20] + 737 pp. Reliure plein veau fauve ancien (début de 18e siècle). Dos à 5 nerfs, étiquette de titre en maroquin bleu et 5 compartiments ornés aux petit fers dorés

Edition originale et inconnue à Brunet I. 113/114 et une des premières de cette traduction qui a été faite sur une édition plus complète que celle que Gueudeville a suivie. Bibliotheca esoterica n°28 ne mentionne que l'édition de 1617 et dit: ""Ouvrage singulier où il est question: de l'art de Lullius; de la Géomantie; du fort Pythagorien; de la musique; de l'astrologie iudiciaire; des divinations; de la physionomie; de la métoscopie; de la chiromantie; de la magie de la caballe; de la philosophie naturelle; du monde , de sa pluralité et durée &c."" First edition of an early translation of ""De incertitudine et vanitate scientiarum"" by Louis Turquet de Mayerne (edition of 1630 gives his name in the title). Among the most commented chapters figured: the art of Lullius, alchemy, the police or government of the cities, ""the whores"", the pimping, the economy, the women of court, the surgery, the kitchen. The chapter on the negotiating commoners joins the second part of the title of the work which shows how Agrippa was very sensitive to frequenting the court of the great lords. The chapter ""Artificial memory"" seems to anticipate the modern notion of the right to be forgotten. Wellcome n° 84; Caillet n° 89